PASSIRAC

 

Une Heureuse Nature

 

 

§ HISTOIRE - personnalités liées à Passirac

SARRAZIN (ou Sarrasin)

 

1. SARRAZIN Jean, 1735, seigneur de Moulidars, ancien juge de la châtellenie des Châtellards, x Marie JABOIN, puis son fils :

 

2. SARRAZIN Pierre, seigneur du Maine-Giraud, juge sénéchal de la châtellenie des Châtellards, x Thérèse PIET de la Descenderie (voir lien avec à la famille de la Croix ¤) (fille de François, maire de Châteauneuf), puis sa fille :

 

3. SARRAZIN Marie, °1741, x Guillaume BANCHEREAU, xx  François de la Croix de Saint-Cyprien ¤.



réf. : Frédéric Blanchet (1993, p 648)

voir également Guimberteau ¤ 

 

  

Origine du logis de Sarrazin

  

Au XVIIIème siècle, le logis de Sarrazin appartient à la famille du même nom. En 1735, il est habité par Messire Jean Sarrazin, sieur de Moulidars, ancien juge de la châtellerie "des Châtellards", époux de demoiselle Marie Jaboin.

Son fils, Messire Pierre Sarrazin, sieur du Maine-Giraud, lui aussi juge sénéchal de la châtellerie des Châtellards épouse demoiselle Thérèse Piet, fille de feu François Piet, maire de Chateauneuf. Leur fille, Marie Sarrazin, née en 1741, épousa en première noce Guillaume Banchereau puis en 1773, Messire François de La Croix de Saint-Cyprien. Le couple habite alors à Sarrazin où naissent plusieurs de leurs enfants.

L'aîné, Jean-Hector, né en 1775 à Passirac, épouse en 1799 à Flaville (Bonneuil), Jeanne Guillaumeau de Flaville. Il réside à Flaville jusqu'à la mort de sa femme puis il retourne à Sarrazin où il mourut en 1853.

Son petit-neveu, Marc de La Croix, hérita du domaine. Il fit construire l'actuel château. Sa fille, née au Chatelard, épousa un de Castelbajac, ancêtre des possesseurs actuels.

 

Cet ancien logis noble, de plan irrégulier, a été bâti sans aucun souci de symétrie. Il est composé de plusieurs habitations qui semblent avoir été rajoutées au fur et à mesure des besoins de la famille, de son extension ou de son enrichissement, ce qui donne à cette demeure le charme de la fantaisie et de l'inattendu.

Un petit pigeonnier à deux ouvertures rectangulaires avait été taillé dans une pierre calcaire. Cette petite construction située entre le corps du logis et les dépendances a malheureusement disparu.

 

réf.: Odette Faye et Michel Kahn

- registres paroissiaux et état civil de Passirac

- généalogie périgourdine par le comte de Saint-Saud.